Lettre d'Antiochus à Bérénice

Publié le par lefrancaispourlesniais

 

Le 18 Octobre .

C’est en ce jour que je déclare l’amour que j’éprouve pour vous !

 

Madame Bérénice .

 

Chaque jour.
Chaque nuit.
Je veux vous voir, vous tenant à mes côtés.
Je me mets à genoux pour vous.
Pour votre amour je fais ça, pour votre bien-être, croyez-moi je le fais pour ça.
Peu importe ce qu'il arrive, je ne veux vous laisser partir.
Je veux être le monde en entier pour vous.
Je n'ai pas l'idée la plus faible, pourquoi vous n’êtes pas en train de me parler ?
J'essaie d'être l'homme parfait que vous avez toujours désirez.
Je suis accoutumé à vous, vous êtes une partie de ma vie.
je n'avais rien à vous cacher.
Vous êtes mon petit ange, vous êtes ma petite étoile.
J'attends toujours chaque heure que vous soyez près de mon cœur.
Toute ma vie j'ai attendu pour un seul moment.
J’adore vos yeux, j'adore votre beau sourire.
Je me fous de ce que les autres peuvent te dire.
Je veux toujours être votre homme parce que je vous aime.

Si le pire du pire arrive, je veux vous serrer dans mes bras.
Je sens que vous êtes loin de croire ça.
Nous marcherons dans un monde où personne a été auparavant.
Tournant les main ouvertes à chaque porte.
Vous regardez dans mes yeux.
Vous me mettez hors de ma misère.
Je ne vous ai jamais dit de mensonges.
J'espère que vous allez venir à moi.
Je veux passer mon temps à vous aimer pour toujours.
Peu importe ce qu'il va arriver, nous devons rester ensemble.
Allez croyez-en mes mots, donnez-moi votre cœur.
Embrassez mes lèvres, touchez ma main, donnez-moi une chance.
Mon cœur bat et a un sentiment qu'il n'a jamais ressenti auparavant.
Si j'ai la permission d'être avec vous, la chance vient dans mon monde... dans un monde plein de bonheur.
Vous êtes la seule pour moi.
Si vous ne m'aimez pas, ne me faites des faux espoirs.
Peu importe ce qu'il arrive, je ne veux vous laissez partir….Car je vous aime !

Antiochus.

 

 

SIBIRIL Ronan

Publié dans Bérénice de Racine

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article